Naturiel, Dr Pascal Pointaire

Apprendre a décoder des maladies

Nous sommes avant tout des esprits incarnés dans la matière. La souffrance et les maladies ne sont possibles qu’en raison de l’ignorance temporaire qui voile l’esprit.

APPRENDRE A DÉCODER LES MALADIES

Nous sommes avant tout des esprits incarnés dans la matière. La souffrance et les maladies ne sont possibles qu’en raison de l’ignorance temporaire qui voile l’esprit. Cette ignorance engendre des croyances erronées, source d’émotions perturbatrices. A leur tour, ces perturbations entravent la circulation de l’énergie vitale et se manifestent sous forme de symptômes et de maladies.

Les traditions médicales (chinoise, indienne, tibétaine, celtique) nous révèlent les liens entre certaines émotions, leurs organes et tissus associés et les saisons correspondantes. Par exemple, la tristesse prédominant en automne, affaiblit les voies respiratoires, la peau et le gros intestin.
Le type d’affection (héréditaire, auto-immune, inflammatoire, infectieuse, tumorale, par intoxication ou carence) est porteur d’une symbolique particulière. Cela révèle le genre de vécu perturbateur et non reconnu. (Une maladie auto-immune révèle de la culpabilité et une auto-punition).
La localisation des symptômes permet de préciser le message des maladies. Par exemple, des lésions des mains évoquent qu’une activité (professionnelle ou autre) est mal vécue.
Avec ces clés de lecture simples, il est donc possible de décoder le message des affections. Cette compréhension est souvent la condition indispensable pour la guérison et la progression spirituelle.

Nous avons choisi d’oublier temporairement ce que nous sommes en vérité, afin de vivre la sensation de séparation dans la diversité (la nuit de l’âme). L’état d’esprit et les sensations du corps nous indiquent où nous en sommes dans nos retrouvailles avec l’essence de l’être:

L’insouciance, la félicité et la plénitude sont les témoins du cheminement juste.
La colère se manifeste par des inflammations et des brûlures, signifiant un refus d’accepter ce qui est.
La tristesse affaiblit les voies aériennes, le gros intestin et la peau, révélant un attachement à ce qui n’est plus.
La peur, les craintes et le stress perturbent les articulations, les reins et la vessie. Il s’agit d’une invitation à développer la confiance en l’existence.
La rumination et les soucis nuisent à l’assimilation des aliments et des expériences. Il s’agit d’une incitation à se centrer sur l’essentiel.